Google : Chat vidéo avec un docteur dans les SERPS

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Stéthoscope & ordinateur

Après Facebook qui aimerait bien devenir leader dans le demaine de la e-santé, c’est au tour de Google de se lancer sur le sujet. Les équipes du géant de la recherche testeraient actuellement un système vous permettant de discuter avec un docteur.

Un véritable docteur en chat vidéo

La nouvelle fonctionnalité se déclencherait dès lors que l’internaute effectue une recherche contenant des mots-clés liés à certains symptômes. Un lien Talk with a doctor now apparaitrait dans les pages de résultats du moteur, permettant d’ouvrir un chat vidéo avec un docteur. Actuellement gratuite dans cette phase de test ou plus exactement offerte par Google, la consultation virtuelle pourrait par la suite devenir payante, bien que toujours moins chère qu’une consultation dans un cabinet médical.

Google : Consultation avec un docteur

L’idée est derrière de cadrer ces recherches liées aux maladies pour voir si effectivement l’internaute a besoin de voir un vrai médecin ou si ce n’est pas nécessaire. Cela peut éviter aussi l’automédication et s’assurer que l’internaute trouve ce qui concerne vraiment son état de santé et non un possible cancer de la gorge comme lorsque l’on fait le tour de Doctissimo avec une simple toux.

Consultation vidéo en test pour le moment

Pour le moment, Google ne serait qu’en phase de tests. Personne ne sait si cela verra le jour et si les résultats actuels sont concluants. Il faudra donc patienter quelques mois avant de voir cela et que l’on sache notamment à quel prix sera proposée la consultation. Est-ce que la technologie permettra de désengorger les cabinets médicaux avec uniquement les problèmes sérieux, être suffisamment crédible vis-à-vis des patients et ainsi rationaliser le domaine ? Verdict à venir dans un futur proche.

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3 Commentaires

  1. Ce serait la meilleure expérience que l’on peut avoir grâce à internet quand ça sera enfin concrétisé.
    Merci pour l’article !

    • Oui et non. Cela pose de nombreuses questions dont notamment celle de la responsabilité en cas de mauvaises informations fournies à l’internaute. Quid notamment d’un médicament incompatible avec le patient ou un autre traitement, d’une posologie biaisée, de la minimisation d’une maladie grave, etc. ?

      Bref, il manque encore beaucoup trop de détails pour se prononcer.

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